Ah je pensais plus à Davinette :DLolll....Mieux vaut tard que jamais n'est-ce pas ?! Après tout, ca ne fait que quelques mois que je connais ton blog :DAlors à ton avis on se connait ???
Ca ne fait que 3 mois que ce blog existe...<br />
Et franchement, je ne pense pas qu'on se connaisse (mais il faut dire que ta photo n'est pas des plus faciles à reconnaître...)
Oup's Youk...Je me suis rendue compte que je mettais des "e" pour te nommer...alors que tu n'es pas une fille toi ;)Je t'autorise à me faire une petite scène également :( Mais pas trop fort !!!Bisous !
Kikoo Youk :DOuh laaaa...C'est bien trop compliqué pour moi cette petite énigme :DJe laisse la place aux autres lolll.Un petit coucou de Dijon où il fait un temps pourri depuis ce matin !!!Bisous bisous.
L’abbé Deschamps portait une attention particulière aux sportifs de la gymnastique et de la clique, prenant part à tous leurs voyages en France et à l’étranger
CLIQUE, subst. fém.<br />
A. MUS. MILIT. [Dans un régiment] Ensemble des musiciens, tambours et clairons. La clique du régiment; clique en tête. La manifestation (...) prenait ordre de régiment en marche derrière la clique des tambours et des clairons (HAMP, Vin de Champagne, 1909, p. 167). En tête, la clique jouait, parfois même toute la musique (ROMAINS, Les Hommes de bonne volonté, Verdun, 1938, p. 93). P. anal. [Dans une société de gymnastique] :<br />
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1. Pour n'avoir ni clique, ni drapeau, le Sporting-Club n'en flattait pas moins, chez la population, un appétit d'héroïsme.AYMÉ, Le Nain, 1934, p. 227.<br />
B. Fam. et péj.1. Groupe de personnes qui se coalisent pour intriguer, nuire à quelqu'un ou quelque chose, par des moyens malhonnêtes. C'est une dangereuse clique; il est de la clique, tous deux sont de la même clique (Ac. 1835). Une mauvaise clique, [pléonasme fréq.] (BALZAC, La Vieille fille, 1836, p. 340). Synon. bande, cabale, coterie. Une clique de jeunes gens qu'il menait comme un pirate (PROUST, Le Temps retrouvé, 1922, p. 833). Les grandes usines de guerre, Anzin, Krupp, Armstrong et toute la clique, qui soudoyaient la grande presse d'Europe, pour réussir leur coup (R. MARTIN DU GARD, Les Thibault, L'Été 1914, 1936, p. 204) :<br />
2. Et ces lettres anonymes sont leurs moindres péchés, reprit le comte Mosca; ils tiennent manufacture de dénonciations infâmes. Vingt fois j'aurais pu faire traduire toute cette clique devant les tribunaux...STENDHAL, La Chartreuse de Parme, 1839, p. 166. SOCIOL. Groupe primaire dont les membres sont unis par des obligations réciproques.Rem. Attesté ds Lar. encyclop. Suppl. 1968.<br />
2. Rare. Terme d'injure adressé à une personne méprisable. Hubert avait répondu (...) une lettre peu ménagée, lui prodiguant, ainsi qu'à son ,,empereur``, les mots les plus crus, clique, canaille, misérable (HUGO, Choses vues, 1885, p. 225).Rem. Attesté ds Lar. 19e et Nouv. Lar. ill.<br />
Prononc. et Orth. : [klik]. Ds Ac. 1740-1932.<br />
Étymol. et Hist. 1. 1694 « société de gens » (MÉN.); 2. 1883 arg. milit. « soldat qui joue du clairon, musique militaire » (G. FUSTIER, Suppl. au dict. de la lang. verte d'A. Delvau, p. 508); 1886 « tambours et clairons » (L. MERLIN, La Lang. verte du troupier, p. 26). Plus prob. dér. de l'a. fr. cliquer « faire du bruit » (cliqueter*) p. allus. aux bavardages qui sont liés aux intrigues des coteries, que transposition de l'a. fr. clique « loquet » en raison du caractère fermé de ces cercles (FEW t. 2, p. 782a, s.v. klikk-). Fréq. abs. littér. : 81. Bbg. ARVEILLER (R.). R. Ling. Rom. 1965, t. 29, p. 376. SAIN. Lang. par. 1920, p. 24, 282, 356; Sources t. 1, 1972 [1925] p. 423. TOURNEMILLE (J.). Au jardin des loc. fr. Vie Lang. 1953, p. 536.
Yess, merci Youk, je suis heureux.<br />
Surtout que l'abbee Deschamp a créé un stade d'athletisme et il etait surtout branche par la gymnastique.<br />
Donc le foot, c'etait pas son truc au depart.
Bof ! Allez ! Soyons noble, j'ai gagné la première manche Haut la main.<br />
Que le petit personnel s'amuse avec les miettes (yek yek yek)<br />
De toute façon Youk a dit (a dit, ada...)
C'est pourquoi je t'attribue 3 points qui te reviennent de droit (questions que tu as posées et auxquelles j'ai répondu par "oui") et j'attribue les 5 points au Gros. C'est que s'appelle "couper la poire en 2" et "flatter les susceptibilités".
N
Niconippon
16/01/2006 09:32
il est de mauvaise foi...Si tu dis AJA tu dis football, Auxerre et donc S T A D E !!!<br />
Qu'en pense son excellence ?
Il y a bien des clubs, qui en Coupe d'Europe ou en Coupe de France par exemple, ne peuvent pas jouer chez eux, faute de stade (réglementaire).
F
Fredogino
16/01/2006 09:32
Salut les hommes, et surtout les estrangers du bout du monde. Putain il fait pas bon aller chez le kiné avant le boulot, ici, on a le temps de répondre à trois mystères :D
C'est le personnage en rapport, oui.<br />
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Mais le lieu à découvrir, c'était bien le Stade de l'Abbé Deschamps à Auxerre.
N
Niconippon
16/01/2006 09:18
L’Association des Jeunesses Auxerroises a été fondée en 1905 par l’abbé Deschamps. Le patronage Saint-Joseph existait déjà depuis de nombreuses années. "Le mérite de l’abbé Deschamps était d’avoir su comprendre et promouvoir des aspirations sportives au sein de la jeunesse du chef-lieu". 1905 fut donc le grand départ, avec, en tout premier lieu, la création des sections de gymnastique et de clique (qui organiseront le grand concours interrégional des 21 et 22 juin). Bien sûr, le football a rapidement suivi. A cette époque, le club ne disposait pas d’installations sportives, d’équipements, et les moyens de transports transformaient en véritable expédition un déplacement de quelques kilomètres… Et puis vint la Grande Guerre. Au cours de cette tourmente, l’A.J.A. vit disparaître bon nombre de ses jeunes garçons, et il suffit de contempler la stèle érigée dans la cour du patro pour juger combien fut lourd ce tribut. Au lendemain de cette guerre, grâce à de nombreux concours généreux et désintéressés, grâce aussi à ses qualités d’homme d’affaires, l’abbé Deschamps réussit à acquérir d’anciennes carrières, route de Vaux. Chacun y mit du sien et, en moins de deux ans, le terrain était comblé et nivelé, puis livré aux ébats de la jeunesse auxerroise. Le complexe sportif était là et pouvait permettre l’implantation, avec les stades de football, des terrains de basket, d’athlétisme et de tennis. La première tribune fut installée en 1930, grâce au concours du conseil général de l’Yonne, dont le président était, à l’époque, M. P.-E. Flandin, qui fut Premier Ministre sous la IIIème République. Des disciplines nouvelles avaient vu le jour à la fin de la guerre : basket, athlétisme, tennis, ping-pong, et puis, plus tard, le Rayon Sportif Féminin. L’abbé Deschamps portait une attention particulière aux sportifs de la gymnastique et de la clique, prenant part à tous leurs voyages en France et à l’étranger.
Il apparaît dans la liste RABUTIN, mais pas dans les 20 personnalités que j'ai choisies.<br />
En revanche, un autre personnage figurant dans les 20 peut être mis en relation directe.
Non, il n'y a aucun rapport avec Colette.<br />
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"Et si tu arrivais, un jour d'été, dans mon pays, au fond du jardin que je connais, un jardin noir de verdure et sans fleurs, si tu regardais bleuir, au lointain, une montagne ronde où les cailloux se teignent du même azur mauve et poussiéreux, tu m'oublierais, et tu t'assoirais là, pour ne plus bouger jusqu'au terme de ta vie !"<br />
Ainsi Colette décrit-elle son pays de Puisaye dans "Les vrilles de la vigne".
A saint-Sauveur se trouve le Musée Colette. C'est d'ailleurs dans ce village qu'elle est née le 28 janvier 1873.
L
Le Gros
16/01/2006 09:01
Montrachet ?<br />
Vin blanc mythique:<br />
Mais les origines du Montrachet sont bien antérieures : au XIIIe siècle les moines cisterciens reçoivent en donation quelques pieds de vignes situés sur le " Mont chauve " ou " Mont Rachaz " entre Puligny-Montrachet (au Nord) et Chassagne-Montrachet (au Sud). Au fil des siècles le Montrachet, souvent surnommé " vigne blanche du Seigneur " forge son identité grâce à de grands propriétaires attentionnés. Parmi eux, on compte le Comte de Clermont-Montoison qui en avait fait l'acquisition à l'époque même où le Prince de Conti faisait de la Romanée Conti un Grand Cru d'exception.